Bonjour à tous ! Dans le cadre de mon défi une vidéo par jour pendant un mois , voici ma 10ème vidéo 🙂 Aujourd’hui je vous parle de mon histoire avec le violon et je vous raconte mon parcours musical !
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Merci Marie, de partager avec nous votre parcours musical. Il est toujours intéressant de comprendre le parcours d’une personne qui enseigne la musique, un instrument. Vous avez eu des enseignants partageant leur passion. Et bien, vous le faites tout aussi bien. Dans chaque morceau musical, je peux ressentir cette passion de la musique et du violon que vous dégagez et cela est vraiment encourageant pour progresser et oser aller plus loin avec le violon. Dans ma lignée, j’ai un grand père qui était luthier et fabriquait des violons. Il avait un magasin de musique et j’adorais, lorsque j’étais petite, être auprès de lui et surtout écouter particulièrement les tziganes lorsqu’ils venaient tester les violons. Cela résonne encore dans ma tête. Curieusement, j’aborde le violon bien plus tard dans ma vie. En gros, cela fait 5 mois. Pendant des années, je me suis cantonnée à la flûte native. Et ma mère qui était musicienne, me parle d’un violon qui est resté dans son étui depuis…….xx années. J’ai ouvert cet étui en juin dernier, et là…..un déclic. Un violon fabriqué par mon grand père qui date de 1954. Je l’ai amené chez le luthier pour une révision et je me suis dit : trop dommage de le laisser dans un étui sans que ce violon chante, résonne, vibre……et voilà le résultat : je suis assidûment vos conseils pour arriver à le faire résonner et j’en prends un plaisir immense. Merci à vous Marie
Très belle aventure 💖
Bonsoir Marie,
J’ai beaucoup aimé votre parcours de vie avec le violon et je vous envie beaucoup d’avoir pu apprendre à jouer dès quatre ans, je vous remercie aussi de nous communiquer votre amour et votre enthousiasme pour cet instrument extraordinaire. J ai aussi une relation très particulière avec ce violon qui était celui de mon grand oncle décédé très jeune et qui a été repris par mon père alors à l’école normale d’instituteur en Moselle.Lorsque la guerre a éclaté il l’a rapporté chez ses parents, mais ils ont ensuite été évacués dans le midi alors ils l’ont l’ont emporté avec leur petit baluchon dans l’autobus et le train en laissant leur maison derrière eux.(détruite à leur retour)
Mon père est ensuite devenu instituteur après la guerre, il a retrouvé son violon et a pu accompagner et faire chanter des générations d’enfants dont moi-même. Malheureusement mes parents n’ont jamais songé à nous initier mon frère et moi. Puis mon père est décédé et à la suite d’une visite au musée de la musique à la Villette j’ai été éblouie par tous ces instruments magnifiques qui dormaient dans les vitrines .C’est alors que j’ai réalisé qu’ un violon dormait aussi dans un placard chez ma mère et qu’ il avait une belle histoire et que j’y étais très attachée Je l’ai apporté chez un luthier qui l’a
révisé et je me suis lancée, j’entamais ma retraite, j’ai aujourd’hui 75 ans, je cherche toujours à progresser et j’espère un jour exprimer toute l’émotion qu’il me transmet.
Vos bons conseils sont très précieux pour m’aider à atteindre ce but, merci beaucoup..
Merci Anne-Marie de nous avoir partagé l’émouvante histoire de ton violon !
Merci Marie de ce partage très personnel sur ton histoire avec ton instrument. Une partie de ton histoire résonne en moi, notamment sur l’enfance et l’adolescence. J’ai commencé à avoir des cours de violon à l’âge de 8 ans, mais par choix personnel, souhaitant jouer du même instrument que ma tante et ma grand mère, mais aussi par attirance pour le son de cet instrument et le mystère qu’il dégageait. Mais le jeune âge et le manque de confiance en moi fait que je jouais peu et peu fort pour que l’on ne m’entende pas… Au collège, j’ai souvent délaissé mon instrument du au regard des autres négatifs sur cet instrument, pas en vogue, je n’assumais pas et je n’étais pas comprise par mes amis. Et puis l’arrivé d’un nouveau professeur m’a apporté cette confiance en moi qui me manquait, et m’a fait découvrir des univers dans le classique que je ne connaissais pas. Ma passion pour le violon s’est renforcée et s’est affirmée ou plutot elle s’est confirmée je dirais, au fur et à mesure que j’ai gagné confiance en moi !
A plusieurs reprises, j’ai fait le choix d’arrêter mes cours de violon pour assurer mes études, et maintenant ma vie de famille. Mais cela fait deux ans, que je reprends très régulièrement mon instrument pour le simple plaisir qu’il m’apporte, mais sans cours pour l’instant à défaut de temps certain, et cela fait deux ans que je suis ton blog. Je pense que tu apportes ce que le concervatoire n’apporte pas: un lien avec la musique actuelle et qui nous entoure (celle des films, et autres), une forte passion pour transmettre à tous et à tout niveaux, une pédagogie positive et bienfaisante que tous les professeurs n’ont pas forcément (et ça, ça marche dans tous les domaines! pour avoir un bon cour, il faut choisir un professeur qui ai le désir de transmettre).
Je ne sais pas quel niveau j’ai maitenant, je ne suis pas débutante mais pas non plus à un niveau confirmé, mais tu m’apportes beaucoup et m’aide à apprendre davantage. Je crois que c’est là ta force, et aussi quand je vois l’âge très variés de tes adhérents, c’est que tu apportes à tous les passionnés débutant ou égarés, mais amoureux de cet instrument, et tu mets en confiance grace à tous tes conseils positifs. Alors Merci Marie!!
Merci beaucoup cécile pour ton témoignage ! Et pour ce très gentil message , je suis ravie de pouvoir t’aider 🙂